- Soirée au bar sur l'avenue Mont-Royal quelque part avec des amis et amies qui me parlent tous en français. J’ai remarqué qu’ils ne sont pas « de souche », mais plutôt membres des « communautés culturelles » de racines ibériennes, plus ou moins.
- J’ai parlé à un québécois en français entre les examens. C’est assez rare ces jours.
- Faire les examens. En français! Pas de choix vraiment. En fait, oui, j’aurai pu demander la permission à la faculté, étant donné mon pays d’origine. Mais j’ai déjà fait trop de travaux en anglais dans ma carrière scolaire. Aussi, je trouverais ça un peu mêlant d’apprendre ce nouveau sujet, tout en français, prendre mes notes en français, puis essayer d’en parler en anglais.
Bonjour. Je vous parlerai des défis d'un anglophone qui essaie d'apprendre et vivre en français à Montréal.
dimanche 20 février 2011
La vie continue
Heureusement, ça s’appelle « Un anglo à Montréal » et non « Un anglo à Montréal qui se plaigne tout le temps ». Même s’il y a des batailles tous les jours pour sortir de la « boîte » où l’on me place, de bonnes choses arrivent aussi. Par exemple :
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